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Hibernations frivoles et réflexions anorexiques.

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Ho-Neverland

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  • La balance est  heureuse, le magnéto en boude.
  • [Overdose de bien-être et parfum floral.]
  • Je tiens à mon imperfection comme à ma raison de vivre
  • Enchevêtrement de pensées perdues au milieu du chaos.

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La balance est heureuse, le magnéto en boude.

Est-ce que tous les hommes sont comme ça, ou suis-je l'exception qui ne pourra jamais dormir en paix, la conscience, pour ne pas dire tranquille, calme ?

"Équilibre". Dirait-Elle ?


Je n'avais aucune raison, aucune excuse, pouvant ne serait-ce que prétexter qu'il était, commun, à défaut d'être normal, de se sentir ainsi.
C'est le pire. L'absence de cause, de coupable. Le sentiment de ne pouvoir accuser personne, de ne pouvoir lâcher ce monstre qui dors en moi, sur les épaules de quelqu'un d'autre. De ne pas avoir le droit de lacérer de mes griffes le visage apeuré d'une âme innocente que je me plairais à condamner.
Quelques fois, la chose s'assoupissait, se relâchait, se détendait. Elle ne dormais pas, jamais, mais elle me foutait la paix.
Mais même dans ces moments de quiétude relative, intérieure, la frustration ne me lâchait pas. Comme un démon, un esprit, qui ne pouvait quitter ce lit qu'était devenue pour lui mon âme. Pour cette raison, j'ai mainte fois essayé de la vider, de la noyer, de l'étouffer. Je me mutilais intérieurement, silencieusement, pour faire taire cette bête, cette horreur, qui guettait Le moment. Le moment, ou enfin, elle me changerait, elle me détruirait, elle me rongerait, en commençant par l'intérieur. Puis petit à petit, me repliant, me dévisageant, ne voyant plus que l'ombre, haïssant la lumière, je deviendrais le miroir de cette chose, qui m'a ruiné l'âme, puis le corps, me plongeant dans l'abime sans fond de l'oubli, du carnage, de la peur.
De quoi ont peur les monstres ? Tout simplement de ce qu'ils étaient, avant. De ce qui peut ressembler à ce qu'ils étaient. Car alors, tout le passé qu'ils avaient oublié pourrait resurgir. Et les détruire, définitivement, leur enlevant brutalement tout le masque qu'il s'était forgé, pour éviter de savoir. Mais moi, je savais, déjà.
Mais, ne l'oubliez jamais, il y a toujours moyen de trouver pire. Pire que ce que l'on est.

Je ne peux pas dire que j'ai tué le monstre, même si j'en tirerais une fierté sans nom, pour avoir vaincue la seule chose digne de crainte. Je ne le peux pas, car mentir me fais mourir. Mais alors, je dirais juste, que tu l'as détruite. Et j'en tire une fierté, sans doute plus grande, de t'avoir trouver.
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#Posté le mardi 10 février 2009 19:21

[Overdose de bien-être et parfum floral.]

Peut-être aurais-je quelque peu de retard, pour ce bilan 2008, mais peut-être, aussi, que j'aurais rarement réfléchie aussi profondément à tout ce que cette année m'a apporté.

L'année 2008, a pour moi, commencé dans la salon de ma tante, avec pour plus jeune compagnie mes parents. Tout ne semblait pas indiqué qu'elle serait par la suite si forte, et intense.
Quand elle a commencé, cela faisait déjà quelque temps que j'y pensais, bien-entendu sans me l'avouer, car la personne à qui il est le plus dur de dire les choses est bien entendu soi-même. Donc, je le vivais, et en même temps, je l'ignorais. Je n'ai pas commencé 2008, comme 2009. Tout d'abord, parce que je n'étais pas en bonne compagnie, que l'année 2007 avait été mauvaise, et que je n'avais rien à regretter. Et parce que je n'avais pas de souvenirs aussi précis de cette année, que ceux que je garde de 2008.
A vrai dire, quand elle a commencé, je ne pensais pas. Disons plutôt, que je n'y réfléchissait pas. Parce qu'y réfléchir n'aurait qu'attisait en moi la terreur que l'entrée au lycée m'inspirait. Et puis la rentrée est arrivée. Et elle ne m'a tout simplement pas marqué. A vrai dire, la première chose qui m'a touché en 2008, ce sont toutes les rencontres que j'ai faites. Oui, je pense que vous êtes ce qui, en très grande partie, ont rendue cette année si exceptionnelle. Parce que Charlotte, Margaux, Aurélie, Audrey, Lisa, Laura et Sarah, ont réussi à me fournir plus de confiance en moi que je n'en avais jamais eu auparavant. Dès le début de l'année, également, je me suis relativement éloignée de la personne à qui j'avais pendant trois ans été extrêmement attachée. Peut-être simplement parce que c'est ce qu'on avait dit qu'il risquait d'arriver, peut-être juste parce qu'on était plus dans la même classe, qu'on avait besoin d'espace. Peut-être que je voulais simplement balayer de ma vie le moindre héritage que les années précédentes m'avaient laissé. Je n'en sais rien, mais au fil des mois, on ne se voyait plus, on ne se parlait plus. Sans doute la plus grande erreur que j'ai faite en 2008. Dans le même temps, plus l'évidence grandissait, et plus je la taisait, et plus je l'enfouissait. Puis je l'ai rencontré. Au début, ça vous surprend. Puis ça devient naturel. Puis ça devient fort. Puis ça devient indispensable.En effet, indispensable est le mot parfait. Parce que même si elles étaient impressionnantes de force, d'indulgence, et de compassion, j'avais besoin d'un soutient, extérieur, sans doute. Et puis un soir, erreur monumentale, mais trop tard, j'ai tout lâché. Erreur, qui s'est répétée, erreurs, que je ne me suis jamais pardonné. Dont je m'en veux encore. Que je me promet de ne jamais refaire, mais que j'ai refais, et que je referais, sans doute, malheureusement. Mais le futur ne concerne pas encore ma réflexion, on aura le temps d'en reparler. Et donc, la vie a suivit son cours. Quand je tombais, il y avait toujours quelqu'un pour me rattraper, et c'était souvent. J'essayais, à mon tour, souvent en vain contre ma volonté, de rendre la pareille aux gens. Peut-être n'avais-je tout simplement pas de chance, ou que je m'y prenais mal. J'espère juste avoir réussi à être digne de l'amitié de chacun, ça représente tellement, à mes yeux. Et donc, voilà. Sans doute, la peur, peut-être le respect, m'ont empêché de faire ce que je considèrerait maintenant comme la plus grosse erreur de ma vie. Je ne regrette rien, j'en suis bien heureuse, même. Tout va pour le mieux. Car en renonçant à cette alternative, mes yeux m'ont révélé ce que mon c½ur refusait de voir, pour changer. Et puis ici, la chute a paru longue, beaucoup plus longue, beaucoup plus dure, et douloureuse. La difficulté semblait se dressait face à moi comme le mur d'eau que mes larmes dressaient à mes yeux. Mais il fallait se ressaisir, alors, je me suis levée, ce matin-là, peut-être dans un état second, mais sans eau aux coins des yeux. Et puis j'ai avancé, au début , avec labeur, puis de plus en plus légèrement, jusqu'à, non pas oublier, mais du moins pardonner, ignorer, faire avec.

La suite se passe de commentaires.


[Désolée, je ne pouvais pas abréger.]
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#Posté le mercredi 04 février 2009 19:51

Modifié le vendredi 06 février 2009 19:47

Je tiens à mon imperfection comme à ma raison de vivre

La peur n'empêche pas le danger. L' effroi que j'éprouve à ne pas réussir à exprimer le flot de sentiments qui se déversent dans mes veines, n'empêchera pas la crainte que j'ai, que tu puisses ne pas les voir.

Certaines personnes savent utiliser les mots, et en faire leurs plus fidèles serviteurs, leurs plus vaillants alliés. Certains savent les domestiquer, et leur faire prendre la forme de leur c½ur.
On les appelle les beaux parleurs.

Parce que rien ne vaut cet éclat de fébrilité et de doute dans la voix, dans les gestes. Parce que rien n'égale ces mots, souvent si communs, et pourtant si uniques, que l'on se répète. Parce que rien ne rivalise avec cette sincérité vibrante au fond de ces paroles. Parce rien n'équivaut ces regards appuyés et ces sourires limpides.


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#Posté le dimanche 01 février 2009 05:10

Modifié le mardi 03 février 2009 05:41

Enchevêtrement de pensées perdues au milieu du chaos.

Certains mots n'ont pas la valeur que l'ont voudraient leur donné. Il y a des choses que je ne pourrais jamais exprimer. Je ne les pense et ne les ressens, pas moins, pour autant.

C'était en mer, tout était calme. Un calme plat, un calme doux, comme on en voit rarement. Aucun son ne parvenait à mes oreilles. Aucune voix ne me dictait le chemin. Aucun message ne semblait me toucher, aucun nuage ne cachait le soleil. C'était beau, magnifique. Une brise invisible me caressait la joue, comme une main chaleureuse. Pas de terre en vue, pas d'homme pour s'étendre, pour se plaindre. Personne. Calme plat. Calme de paradis. C'était ça, rien d'autre. Je ne vivais pas. Puis d'un coup, le ciel s'est couvert. Une brume noirâtre a couvert le soleil. La caresse du vent est devenue attaque, mes joues brulaient sous cette blessure, cette trahison. Des voix se sont mises à hurler, à crier. Des mères appelant leurs enfants, des hommes tirant sur d'autres hommes, des malades souffrant à l'agonie, des veuves pleurant leurs maris, des tombes dont le silence était le plus assourdissant de ces grondements.. Et tout d'un coup, aussi violent que l'arrivée de l'orage, se sont mises à se bousculer en moi des nuées de sentiments, de l'amour à la haine, des douleurs au bien-être, de la joie aux chagrins. Je me noyais, je m'étouffais au milieu de ce flot d'émotions discordantes, si bien que la gaieté me terrifier au même titre que l'effroi, que l'amour me déchirer tout autant que la haine, que la paix me révulser comme le plus grand mal. Et la folie s'est emparée de moi. Je n'étais plus humaine, même pas animal. Je criais, je hurlais, je pleurais, et les hommes riaient. Et là, j'ai compris..

"Dommage, le rêve était beau.."



Camille



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#Posté le samedi 10 janvier 2009 05:10

Modifié le samedi 10 janvier 2009 05:35

Qui se ressemble, s'assemble, puisque les opposés s'attirent.

La vie même est un paradoxe. Tu vis pour mourir, tu dois mourir pour vivre.

Les incertitudes et les questions rythmes nos chemins, et comparent nos routes. Il semble que le destin même prenne plaisir à rendre ambigüe ce petit jeu, disséminant hasard et contradiction tout au long de nos vies.
Il existe certainement des ponts entre ces chemins, mais seuls les héros, ou les naïfs, arriveront à croire à plusieurs théories, toutes opposés les unes aux autres.

Alors, on fait avec, on passe outre, on ignore. Audacieux ? Astucieux ? Ou simplement faible ? Les hommes ne l'admettront jamais, ce ne sont pas leurs envies, ou leurs foies qui décident de leur avenir, seulement leurs limites. Ou leurs couardises.
Alors, quitte à jouer quitte ou double, on avance, sans trop savoir où l'on pose nos pieds, chaque pas durant. Certains savent vers quoi ils vont, d'autres, cherchent encore la raison qui les poussent à avancer. Certains ne la trouveront pas, faute de ne savoir chercher.

Tu n'es qu'un amas de désaccords plus ou moins présents, plus ou moins visibles. Pose toi les bonnes questions, elles ne serviront à rien, mais te donnerons l'impression de ne pas stagner.
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#Posté le mardi 30 décembre 2008 17:45

Modifié le mardi 30 décembre 2008 18:02

It doesn't matter no more.

Les questions, se bousculent, restant en suspens comme les étoiles dans le ciel. Mais elles n'importent plus.

Je méprend, souvent, à oublier que l'erreur est humaine. N'est-ce pas cocasse, de se tromper sur la tromperie de l'homme ?
Et plus j'y pense, et plus je m'enfonce, plus je me noie. Et plus j'y repense, et plus je me trouve sidérante, à penser ça. Une pensée logique, sortit d'un esprit chaotique. Il y a de quoi surprendre. Et voilà. Voilà ce qui entraîne l'erreur, ce qui pousse le monde à s'enfoncer. Mais heureusement, certains gardent la tête hors de l'eau. Ils se trouvent, dans ces moments, parfois lâches, parfois perdus, mais ils se trompent sur leurs portraits. Ils sont seulement sur le bon chemin, et l'incertitude qui les gagnent, n'est dû qu'à l'anomalie de cette situation.
L'homme n'est que mensonge, et les seules convictions sensées qui peuvent les guider, ne ne sont à même de n'être décidées qu'à plusieurs.
Peut-être, n'a-t-elle pas tord. Peut-être suis-je simplement comme tant d'autres avant moi, à me tromper de voie. Peut-être est-elle, seule, sur le vrai chemin, et peut-être que je ne marche que sur une route fictive. Mais que sais-tu ? Qui te le dit ? Moi, je ne pense pas. Je vise long, et je vise loin, comme eux, comme beaucoup d'autres. Et ça ne fera que plus mal, sans doute. Mais d'après moi, qui ne vise pas cette cible, ne vise pas bien. J'ai raison, et je le sais. Je le sais, parce qu'un million de choses, me le prouvent chaque jour. A chaque doute, à chaque peur, à chaque instant d'indécision, il y a un signe, comme une présence, qui me montre la vérité. Et la vérité, je la connais.

Et je ne connais rien de plus beau..
Camille.
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#Posté le lundi 01 décembre 2008 06:30

Modifié le jeudi 15 janvier 2009 18:38

Goldfish turn, and have the chance to forget, keeping this favour that I envy...

Quelque chose en toi...

On dit souvent de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoi que ce soit. Mais parfois,je pense, que sept fois ne suffisent pas. Il faut trouver le juste milieu, et ce n'est pas facile. On a peur de trop tourner autour du pot, de ne pas pouvoir tourner la page. On craint de ne tourner que trop vite le dos à ce qui nous tient à c½ur, de ne pas assez s'accrocher... Non, en effet, on ne tourne pas rond. On a jamais assez le compas dans l'½il, en matière de réflexion, et il nous arrive de manquer de précision. Bien sur, on dira que l'heure tourne, et qu'il serait temps de faire tourner court à ce monologue, qui tourne en rond. Parlons en encore, et encore. Nous ne détournerons qu'une fois de plus le regard, si nous ne tournons pas de l'½il à force de nous remuer ainsi... Alors, Nous nous tournons les uns vers les autres, pour nous parler. Parce que ce n'est pas facile, et parce que l'on n'a pas vraiment d'autres choix. Les choses, en cette matière, ont tendance à mal tourner, c'est un fait. On a beau tourner et retourner la situation dans tous les sens, rien de bon ne s'annonce. Nos vie tournent au vinaigre, parce que l'on refuse de retourner nos vestes. "Vois les choses en positif" nous dit-on. Mais cela fait des millénaires, qu'on nous serine, qu'on nous promet que tout va s'arranger et que les choses ne prennent pas meilleure tournure. Non, on ne tourne pas rond. Nous tournerons bientôt carré, si cette torture mentale ne cesse pas. Et si la roue ne tourne pas, alors, on arrêtera de tourner, nous aussi...

... Ne tourne pas rond...
Camille.

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#Posté le jeudi 16 octobre 2008 07:04

Modifié le vendredi 26 décembre 2008 00:17

Tuons nos fleurs et brûlons nos nuages.

Alors qu'aucune bataille n'est plus importante, aucune n'est plus ignorée.

La facilité vous réfugie dans des prétextes absurdes, comme quoi on ne changera pas le monde. Vous vous trompez. Personne n'est mieux placé pour faire bouger les choses.

AGISSONS.

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#Posté le mardi 16 septembre 2008 21:47

Modifié le mardi 06 janvier 2009 02:53

Ho, my neverland. Let me come, I wanna go into you...

Parce que l'on se ment trop souvent
Parce que la terre n'arrête jamais de tourner
Parce que vous n'admettez pas que la vie est belle.

Il y a des choses, qui valent la peine d'être vécue. Que ce soit du bonheur, de la douceur, ou des douleurs, des déchirures. On ne sait ce qu'est la vie, qu'après une vision globale de ce qu'elle offre. Et cette vision peut être belle, ou laide. Ça ne dépend pas du hasard, pas de la chance, pas de la vie. Juste de votre façon de la voir.
Ce matin, je vous ai entendu vous plaindre, une fois de plus. Une fois de trop ? Vous, qui ne savez pas être heureux, qui ne savez que désirer, pourquoi vivez-vous ? Que recherchez-vous ? Vous n'en savez rien. La guerre vous régit, la violence vous habite, le mensonge vous guette. Tuez-vous, plaignez-vous, soyez lâches, traites et avides. Vous, n'avez plus rien à perdre. Vous ne savez pas ce que vous manquez.

Deviens Humain, ou tais-toi à jamais.
Camille.
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#Posté le vendredi 29 août 2008 00:07

Modifié le mardi 06 janvier 2009 03:51

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